Le propos de cette danse est une dénonciation du colonialisme de tous bords.
Dès le début une silhouette voilée de blanc rappelle tel un fantôme du passé les atrocités commises et annonce les dangers qui se suivront dans l’Histoire.
La danse nait d’un chant funèbre aux peuples pillés et se termine en un absurde paradoxe où le vainqueur s’étouffe dans l’abondance nauséeuse qui détruit sa société.
D’après une musique éponyme de Michel Titin-Schnaider
Festival « En chair et en son » Issy Les Moulineaux 2015