Et si on en était venu à un point de non retour.
La naissance d’une post humanité malade de son insolence et de son anthropocentrisme.
Un être en devenir avec les blessures qu’il s’est infligées dans une inversion de sa recherche du bonheur.
Un être de mystère qui nous angoisse…
Photographies: Fabrice Pairault
Performance dans le cadre de la Nuit blanche 2015 (Paris IV°), Sons d’anthropocène