Dans cette pièce, se croisent les âges du monde ; s’y rencontrent la Vierge sacrifiée, Hécate, et cet enfant pas encore né. Ils se parlent en écho. C’est aussi une offrande à la poésie du Wabi Sabi qui coule sur le jardin de ma maison : des gouttes de souvenirs irradiants, parfois violents, comme ces vases cassés réparés à l’or fin et posés en équilibre sur une table de pavillon de thé.
Musique : Benoît Bories