La chute nous est familière, actuelle. Pourtant la gestation n’est jamais terminée.
Une créature en apesanteur, soutenue par les fils de la musique, traversée par des tensions et le flux des mémoires.
Et surtout la précieuse sensation d’appartenir au monde bruissant de la vie de ses particules.
Photographies : Fabrice Pairault
« La cinquième et dernière session affiche quatre binômes témoignant de la pratique plurielle et libre du butō. En pagne blanc traditionnel, Tina Besnard mêle tension et fragilité dans une performance impressionnante, dans Le grondement de l’écaille. »
Michèle TOSI – www.resmusica.com En Chair et en Son avec la danse butō et l’art acousmatique
Festival « En chair et en son » Issy les Moulineaux 2016